Film « Divertimento »
Film éponyme réalisé par Marie-Castille Mention-Schaar
1995/1996, année de terminale. Agée seulement de 17 ans, Zahia Ziouani prend conscience que son rêve de devenir cheffe d’orchestre et son ambition de rendre la musique symphonique accessible à tous et dans tous les territoires, passeront par la création d’un orchestre unique en son genre dans sa diversité et sa composition. Aidée par sa sœur jumelle Fettouma, violoncelliste, et alors qu’elle va diriger son tout premier concert, elle crée l’orchestre Divertimento.
Durée : 1h55
Réalisation Marie-Castille Mention Schaar
Scénario Clara Bourreau, Marie-Castille Mention Schaar
Production Easy Tiger [fr], Estrello Films [fr]
Distribution/vente Le Pacte [fr]
Producteur délégué Olivier Gastinel
Producteur délégué Marc-Benoît Créancier
Chef costumier Caroline Spieth
Scripte Anaïs Sergeant
Directeur de production Pascal Ralite
Régisseur général Gaël Deledicq
Chef décorateur Gwendal Bescond
Assistant maquillage Valérie Tery
1er assistant réalisateur Zazie Carcedo
Directeur du casting Marie-France Michel
Ingénieur du son Guillaume Valeix
Directeur de la photographie Naomi Amarger
Critiques
La presse en parle
« Les mélomanes le savent, les sœurs Ziouani ont remporté leur pari. Divertimento, le film, en relève un autre : transformer la réalité en fiction sans verser dans le biopic édifiant. Marie-Castille MentionSchaar (Les Héritiers, A Good Man) y parvient doublement en s’attachant au duo fusionnel formé par les jumelles plutôt qu’à la seule Zahia. Le cheminement de ces deux volontés, renversant un obstacle après l’autre et s’insufflant réciproquement l’énergie nécessaire, constitue la principale dynamique d’un film sans grande recherche formelle, mais très juste, parfois drôle, et souvent émouvant. les retours presse »
« Passionné de voyages, Saint-Saëns fut très influencé par les cultures d’Afrique du Nord. Zahia Ziouani, elle-même riche de cette double-culture, éclaire ici les œuvres orientalistes du compositeur d’un jour nouveau. Aux côtés de Rachid Brahim-Djelloul, de Fettouma Ziouani et des solistes invités, elle imagine un formidable jeu d’échos avec des musiques algériennes, de Francisco Salvador-Daniel et Idir. Un fascinant dialogue musical ! »